Luc 2.28 à 30 – Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit : « Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut ».
Ces mots ont été prononcés par un vieillard du nom de Siméon. Bien qu’il soit un homme de « l’ancienne Alliance », c’était un homme rempli de l’Esprit Saint. Ce jour-là, l’Esprit l’avait poussé à se rendre au Temple de Jérusalem juste au moment de la présentation de l’enfant Jésus. Bien auparavant, il avait reçu cette conviction qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ.
Cela ne vous fait-il pas envie ? Voir les commencements de Dieu à travers de petites choses. Siméon ne tenait qu’un petit enfant dans ses bras et pourtant il voyait déjà, à travers Lui, le plan merveilleux du salut de Dieu. Nos yeux ont tellement besoin de s’ouvrir parce que nous passons si souvent à côté des merveilles de Dieu. Nous sommes tellement préoccupés par des tonnes de choses terre à terre !
Cela fait combien de temps que la nature ne nous a plus « parlé » ? Cela fait combien de temps que la lecture de la Bible ne nous a plus fait « boom » ? Depuis combien d’années, le Saint-Esprit ne nous a-t-Il plus « poussé » ? Pour saisir les choses de Dieu, il faut que le voile soit ôté ! Comment s’appelle notre voile ?
Mes bien-aimés, nous vivons des temps exceptionnels tout aussi palpitants que la première venue du Fils de Dieu ! Sommes-nous capables de voir les événements en esprit et de discerner ce que notre Dieu est en train de faire ? Pour cela, il est primordial de redonner la place qui convient au Saint-Esprit dans notre cœur.
Bonne réflexion.
Pasteur Claudy – Centre Apostolique EZ37M – Copyright Octobre 2014 © Tous droits réservés