Esaïe 38.15 et 16 – Que dirai-je ? Il m’a répondu et il m’a exaucé. Je marcherai humblement jusqu’au terme de mes années. Après avoir été ainsi affligé. Seigneur, c’est par tes bontés qu’on jouit de la vie, c’est par elles que je respire encore, tu me rétablis, tu me rends à la vie.
Ne vous est-il jamais arrivé d’avoir l’impression que votre bateau fait naufrage et que vous êtes en train de sombrer ? Rien ne va plus, vous avez peine à avancer tant les vents sont contraires, et vous ne voyez plus d’issue. Tout semble fermé, verrouillé, cadenassé. La panique alors envahit votre cœur et vous amène ainsi au désespoir.
Mais où est Dieu dans ce terrible moment, que fait-Il ? Cette attente est interminable et vous n’en pouvez plus ! Vous avez beau lever les yeux vers le ciel, cela ressemble à une purée de pois, vous savez ce brouillard épais qui nous empêche de voir à un mètre. Nous ressemblons à ce moment-là à un petit oiseau, tremblant de froid et de peur, perché sur une branche prête à casser. Nos ailes n’ont plus la force de nous faire voler, elles sont brisées.
J’ai une bonne nouvelle pour toi dont la vie semble être dépeinte au travers de ces lignes. Oui, même si tout semble basculer, Dieu est là et à l’exemple de ce petit oiseau, même si cette petite branche casse, il étendra sa main et t’enveloppera de toute sa douceur et pansera tes plaies. C’est par ses bontés que tu respireras encore ! Il te rétablira et Il te rendra la vie. Non, ce n’est pas encore terminé pour toi, cela ne fait que commencer. Prends courage.
Avec toute ma compassion.
Pasteur Corinne
Article 0185. ez37m.com. Copyright Février 2013 © Tous droits réservés