Psaumes 121.1 – … Je lève mes yeux vers les montagnes… D’où me viendra le secours ?
Il y a une certaine confusion par rapport à ce verset. David ne dit pas : « Je lève mes yeux vers les montagnes, c’est de là que viendra le secours. », mais il dit en substance : « Je vois les montagnes, qui pourra me secourir ? »
Quand nous voyons les montagnes qui se dressent devant nous, nous pouvons ressentir une sorte d’écrasement. Certaines tâches semblent si ardues et difficiles que nous en avons les jambes coupées. De qui viendra le secours ? Pas des êtres humains, mais de Dieu bien sûr ! (Psaumes 121.2).
David dit quelque chose d’important : « L’Éternel, qui a fait les cieux et la terre. » L’Éternel qui a fait les montagnes… Sera-t-Il impressionné par « nos » montagnes ? Sera-t-Il pris au dépourvu ? Il a créé tout l’univers ! TOUT l’univers !
Comme un serviteur de Dieu l’a dit : « Nous ne devrions plus parler de nos montagnes à notre Dieu, mais nous devrions parler de notre Dieu à nos montagnes ! » Il est le secours en toute circonstance. Notre Seigneur est tout suffisant pour nous faire triompher.
Nous serons peut-être appelés à gravir cette montagne, pour chaque mètre « à conquérir », Il nous en donnera la force. Peut-être qu’Il nous montrera le chemin pour la contourner, à chaque pas Il sera notre lumière. Enfin, peut-être que nous devrons faire demi-tour parce que nous nous sommes trompés de route, Il se trouvera là où nous nous sommes égarés.
Ce matin, ne regarde plus les montagnes ! Vise plus haut : le ciel ! C’est de là que te viendra le secours.
Bonne journée et bonne réflexion.
Article 0067 – Pasteur Claudy – Centre Apostolique EZ37M – Copyright 7 décembre 2017 © Tous droits réservés.